Επισκέπτης Χρήστης
8 Αύγουστος 2024
Morceau de rue extrêmement bruyant. Un habitant long terme de l’hôtel traîne devant à rien faire toute la journée tapant la discute très très fort avec ses potes dont le fils du gérant. - En fait j’habite pile en face de l’hôtel et je tiens à témoigner - Ils hurlent dix fois plus fort qu’une terrasse de café, d’ailleurs à une terrasse ils se feraient virer à hurler si fort avec leurs grosses voix. Ils utilisent ce bout de rue comme leur propriété alors que c’est une rue publique. Il ne s’agit pas d’un simple brouhaha de fond, mais de hurlements dont je comprends le moindre mot, cela couvre mes propres conversations dans mon domicile, même les fenêtres fermées ! Ayant habité dans une dizaine de quartiers différents de Paris c’est la première fois que je vois ça. Je leur ai signalé une fois, ils ont un peu amélioré la situation mais à contre-cœur d’où mon commentaire aujourd’hui. En effet le fils du gérant vient de m’invectiver depuis la rue parce que j’étais à ma fenêtre ! J’habite au 1er étage et manifestement je les gêne ! Mais il faut qu’ils comprennent qu’il y a d’autres façon de vivre qu’imposer leur vacarme au voisinage. Nous sommes quelques voisins à en avoir parlé ensemble mais que faire ? On y réfléchit car cela s’apparente quand-même à du « trouble à l’ordre publique ». J’ai toujours eu pour habitude de m’installer près de mes fenêtres pour lire, étudier, travailler, pour la luminosité et l’air. Je suis chez moi. Manifestement ce jeune-homme de l’hôtel ne sait pas qu’on peut lire un livre à notre fenêtre ou simplement y faire une pause parce qu’on travaille à la maison ! De plus quand j’entends hurler dans la rue, je vais voir ce qui se passe, c’est normal. Deux univers qui s’opposent, c’est bien dommage. Je n’étais néanmoins jusque là pas dans l’hostilité. Mais qu’ils essaient de faire pression pour que les habitants tranquilles subissent leur vacarme et disent rien, là une étape encore plus inacceptable est franchie. On a le droit d’être à nos fenêtres et on a le droit d’avoir une rue normale. Et on ne va pas se laisser faire jusqu’à ce que cette rue soit vivable et apaisée.
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